Le Premier ministre a réuni les partenaires sociaux le 17 janvier pour lancer son fameux “conclave” au sujet des retraites. Les discussions proprement dites ne devraient débuter qu’après la remise du rapport de la Cour des comptes (annoncée le 19 février) concernant les besoins de financement du système. L’objectif est de parvenir à un accord
Retraites : sortir de l’impasse !
Sortir de l’impasse ! – Par Yvan Ricordeau, secrétaire général adjoint de la CFDT La CFDT s’engage dans la concertation retraites avec détermination et responsabilité. Avec détermination afin de répondre aux attentes exprimées par les travailleuses et les travailleurs lors du mouvement social de 2023. L’enjeu est d’abord un besoin de justice sociale pour permettre
Retraites : vers une reprise des discussions
Lors de son discours de politique générale, François Bayrou n’a pas annoncé la suspension de la réforme des retraites, mais il a bien confirmé l’ouverture de discussions sur le sujet. La CFDT se tient prête à y participer. La CFDT réclame la réintégration des quatre facteurs de pénibilité (dont le port de charges lourdes) en
Retraites : report d’âge légal, retraite progressive, carrières longues … à quel âge puis-je partir ?
Le 1er septembre 2023, l’âge légal de départ à la retraite a été reporté de 62 à 64 ans. L’âge d’ouverture du droit à pension augmente de 3 mois par génération jusqu’à 64 ans. Les personnes nées à partir du 1er septembre 1961 sont les premières concernées. Une évolution du dispositif réservé aux carrières longues
Carrières longues : le gouvernement lâche du lest
Dans un projet de décret, le gouvernement exonère de la réforme les salariés nés entre le 1er septembre 1961 et le 31 décembre 1963. Ils pourront partir en carrière longue comme prévu avant la réforme. Les salariés nés entre le 1er septembre 1961 et le 31 décembre 1963 et qui répondaient aux critères pour partir en carrière longue avant
Retraites : le texte de loi décrypté
Réunis en commission mixte paritaire le mercredi 15 mars, les députés et les sénateurs se sont mis d’accord sur un texte commun aux deux assemblées. C’est ce compromis qui a été adopté sans vote, par l’utilisation de l’article 49.3 de la Constitution, le jeudi 16 mars. Analyse, point par point. – – – La loi