Le Comité Social d’Administration (CSA) des DDI s’est réuni le 13 novembre 2024. Une motion unitaire relative au budget de fonctionnement a été lue en séance. Vous la trouverez ci-dessous et en pièce jointe au format PDF. – – – Motion adoptée dans le cadre du CSA des DDI du 13 novembre 2024 NON à
Réduction des effectifs de la Fonction publique : le retour de la politique du rabot
L’EDITO de la Lettre Fonction Publique Informations n° 166, du jeudi 17 octobre 2024 Nul ne nie les contraintes budgétaires de la période, dont les choix politiques sont responsables. Nul ne nie la nécessité d’efforts, à condition qu’ils soient partagés et justes socialement. La CFDT est aussi convaincue qu’il ne faut pas forcément toujours plus
Budget : une politique de rigueur contestable
Le projet de loi de finances (PLF) et le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), bientôt débattus à l’Assemblée nationale, prévoient des économies intenables. Si elle était appliquée, cette politique de rigueur conduirait à une nette dégradation des services publics et fragiliserait notre protection sociale. Plusieurs ministères, tels ceux de l’Éducation
Budget : le gouvernement annonce 60 milliards d’économie
Pour son premier budget, Michel Barnier souhaite frapper fort. Il se fixe un objectif de 60 milliards d’euros d’économie tout en assurant vouloir donner aux députés des marges de manœuvre sur la manière d’y parvenir. Le tour de vis s’annonce sévère. Encore faut-il qu’il soit juste. Les économies budgétaires doivent être à la hauteur du
Économie : le tournant de la rigueur ?
Le futur gouvernement va devoir s’atteler au budget 2025 alors que l’économie française montre des signes de ralentissement. Un véritable casse-tête vu l’état des finances publiques. Tout l’enjeu est d’éviter qu’une politique de rigueur n’ajoute de la crise à la crise. Alors que l’Allemagne apparaît depuis plusieurs mois comme l’homme malade de l’Europe, la France
Budget 2025 : l’austérité au risque d’une plus grande dégradation des services publics
Les informations diffusées au cours de l’été, notamment par les « lettres plafonds » envoyées par Gabriel Attal, indiquent clairement que le budget 2025 sera marqué par l’austérité. L’envoi de ces lettres plafonds par le 1er ministre démissionnaire (voir notre article du 27-08-24), en plus de la question de la légitimité du processus, pose des